Pourquoi les festivals sont le nouveau Auschwitz et qui faut plus y aller

Salut les blaireaux, alors ça y est, tu as fait la queue la trois heures en tout pour aller chier dans un compost à We Love Green, et tu as déjà tes places pour Rock en Seine, le festival de Rock sans Rock en tête d’affiche qui devrait s’appelle Daubes en Seine ? Et bah tu devrais lire qu’est-ce qu’il y a marqué dans cet artic’, ça te fera du bien. 

Selon le Gros Robert, un festival c’est quoi ?

Festival : Nom masculin homosexuel. Attroupement de connards ayant une passion commune, se rassemblant pour partager les dernières créations des plus mauvais d’entre eux. Il y a des festival de tout, mais ce qui les rassemble c’est l’envie de se montrer devant ses congénères et faire plaisir à des festivaliers.

Exemple : We Love Green est un gros festival de merde plein de bobos, qu’apparemment selon des sociologues ça n’existe pas mais ça se voit qu’ils n’habitent pas à Montreuil.

 

Festivaliers : Sous race qui viennent en groupe mais passent la journée à se chercher dès que quelqu’un va pisser. Belle troupe de gros bollos de seconde zone, partageant la passion des passionnés qui mais qui ne se sentent pas capable de le faire eux même. Ils paient même une fortune pour pouvoir profiter du non talent des exposants. Ce paradoxe est exploité depuis maintenant plus de cent ans sans qu’ils ne se rendent compte de rien.

 

Mais ça, c’était avant cet article qui va vous ouvrir les yeux sponsorisé encore et toujours par les poires à lavement SALVA. On y va c’est parti.

Comme d’hab je n’ai pas particulièrement fait de plan à mon artic’, ça va venir au fil du clavier. On va commencer par les festivaux de ciné.

Un festival de ciné, ce sont des petites structures qui essaient d’imiter Cannes, mais avec des films encore plus merdiques. Cannes c’était bien avant, vite fait en fait je pense que ça a toujours été de la merde. Ce rassemblement consiste à présenter les derniers films d’une flopée de réalisateurs triés sur le volet, toujours les mêmes et qui vont être plus ou moins décriés et départagés par l’Oreal. Dans le lot, t’auras toujours un petit Gaspard Noé qui va filmer un viol ou une scène de sexe pendant 45 minutes pour que tout le monde soyent choqués et écrivent des critiques horrib’ sur le sujet dans Télérama le lendemain.

 

Mais le festival de Cannes, c’est avant tout des crevards et des pédophiles, tout autour, qui profitent de l’occasion pour faire des teufs de merde où c’est que les producteurs vont y venir pour écouter de la mauvaise musique ou encore violer des jeunes actrices, qui fermeront leur gueule pendant 15 ans pour débuter leur carrière et viendront faire un speech des années après pour se faire partager sur Konbini. Ne changeant rien au problème, mais ça fait bien, ça fait éthique, on pourra recommencer à kiffer cet événement l’année d’après lol.

 

Les festivaux de musique

Le premier c’était Woodstock. Alors c’est vrai qu’on va pas éjaculer dans la Liebig hein, woodst’ c’était pas mal. Y avait les WHo, les Beatles, Lenny Kravitz, plein de hippies de LSD, une odeur de merde et des partouzes dans tous les coins. Ensuite les promoteurs se sont bousculés pendant les 60 années qui suivirent pour essayer de retrouver la même ambiance. Sauf que d’entrée ça va bloquer, parce qu’ils ont décidé de te faire payer l’entrée, la bouffe etc…

 

Alors pendant un petit temps, je dis pas, c’était pas mal. C’était chouette de pouvoir aller voir les artiss que tu kiffes tous réunis dans la gadoue venant chanter leur dernier 45 tours. C’était bien jusqu’à temps qu’ils aient compris 3-4 trucs bien relous.

 

L’alcool

Ils te font de la pub et te font payer très cher, mais tu joues le jeu parce que t’es un con

Avant, les bars te servaient ce que tu voulais, et pour un prix abordab’. Tu pouvais bien te bourrer la gueule à la vodka, au sky et tous les trucs qui faisaient kiffer les banlieusards. Mais depuis qu’Heineken les nazis ont imposé leur loi, c’est mort. Se servant de la bonne morale et d’une pseudo loi limitant la consommation d’alcool soit disant pour éviter les gros lourds, tu ne peux boire que de la bière, très chère, mal brassée et mal servie par des connards sous payés. Maintenant tu ne peux même plus payer avec ton propre argent. Il te faut payer des sommes rondes, qui ne tombent jamais juste pour avoir des tickets ou maintenant de la monnaie virtuelle. Ce qui fait que tu ne te retrouves jamais avec un montant juste et que tu te fais toujours enculer de 2-3 euros non dépensés en alcool.

 

Le prix

 

Avant, pour 200 francs, tu t’en sortais avec un bon festoche, et tu trouvais ça déjà cher. Surtout qu’en réalité c’était de la promo pour des artistes que tu ne connaissais pas forcément à la base et après t’allais acheter leur disque avec 2 chansons biens sur 13. Seulement, maintenant que l’industrie du disque est en crise, et que les groupes se font enculer par Spotify et Deezer qui pillent les œuvres, ils sont obligés de sur facturer les prestations. Et de jouer encore à 50 balais pour payer leurs impôts. C’est pour ça que tu vois tant de groupes cultes qui ont arrêté de sortir de la musique cool depuis 20 ans, mais qui reviennent quand même avec leur nouveau look de banquier te sortir les tubes de ta jeunesse. Et toi ça te fait quand même plaisir tellement t’es une mouche à merde autour d’une merde en rotin. Seulement bah ta place maintenant tu la payes 150 balles. Si tu ajoutes à ça l’alcool et la bouffe, le camping, le train si tu vies dans la province de merde, et tu t’en tires pour 1500 euros minimum.

 

La bouffe

 
Total de l’opération = 50 euros + vomi

La bouffe est une horreur. Je ne comprends pas pourquoi nous continuons à aller dans ces trucs de merde qui t’interdisent de ramener ta propre bouffe pour des « raisons de sécurité » MDR. En vrai c’est contraire aux droits de l’homme de faire ça. Je suis persuadé qu’un jour si quelqu’un meurt de faim à un de ces événements de merde, la famille pourra porter plainte contre tous ces connards. En solution de remplacement à ta bonne bouffe de chez toi que tu aurais pu ramener dans ta gamelle, une tonne de foodtruck à la noix se présentent à toi. Souvent bio et merdique, la nourriture proposée est à 90% immonde et coute un putain de bras qui t’aurait été utile pour leur foutre ta main dans leur gueule.

 

LA DROGUE 

QU’on soit clair, aller à un festival sans drogue, comme dit le vieil adage, c’est un peu comme réussir à pécho Marlène Schiappa, et ne lui mettre que des doigts. Seulement pareil, le Dieu de l’hypocrisie a encore frappé. Et maintenant, tu as toute une floppée de gardiens noirs à l’entrée payés pour te palper (hommes et femmes) pour trouver le moindre bout de shit. Et croyez moi, pareil niveau droit de l’homme on est au niveau de l’Erythrée (si j’ai fait une faute va te faire enculer). Ici rien ne passe, même pas un sachet de Granolo (voir para précédent mais si tout se passe bien tu l’as déjà lu connard, sinon t’es vraiment trop con). Et toi, gros nazi anti drogue, tu te dis que c’est bien et qu’au moins on sera pas dérangé par les dealeurs et tout le tralala. Mais queue néni !!! A partir de 22H30, le parc festivalier, surtout lors de les festival techno qui pillulent en France, les gens sont tout foncedés, tout partout, partout en France, c’est leur projet et c’est insupportable ! Et on les comprend vu le prix des boissons et la qualité éthylique de celles ci. Ils ont les pupilles aussi dilatées que la chatte à ta mère quand elle voit le dernier futal de Brigitte Macron. Les dealeurs s’en donnent à coeur joie. Bah oui bande de connard, on sait où vous palpez, et la drogue maintenant bah elle est toute petite et tient dans un larfeuille espèce de connards hypocrites. Une bonne partie de ton billet va dans le dispositif de sécurité aussi utile que la commission en charge de la validation des comptes de campagne de l’Elysée.

En conclusion bah les festivals, c’est un écran de fumée de plus pour que le petit peuple prenne faussement part à la vie artistique, un petit filon exploité par des fils de pute qui vous promettent de l’amusement pour 150 balles minimum mais qui en réalité rembourse la crise du disque et du cinéma qu’eux même ont causé, et toi bah tu payes comme un con. En résumé, bah c’est bien de la merde, arrêtez d’y aller, c’était écrit dans le titre m’enfin bon fallait bien mettre un peu de contenu.

 

Merci aux Poires à lavement Salva !

Hugo Clément : Une dernière question petit noir, y a t il des fautes dans l’article ?