Salut les consommateurs, comme vous ne l’attendiez pas, voici mon premier article mode. Je décrypte les comportements associés à certains vêtements, vous allez voir c’est super bien vu. Ne me cassez pas les couilles avec filsdeputedelamerde. Cet article, s’il est copié sur quelque chose c’est sur hainehainehaine.blogspot.com, mon feu-site internet préféré. (d’ailleurs si quelqu’un avait téléchargé l’album de l’auteur du blog, je suis à la recherche de la chanson « bouc taillé », me contacter sur ontenculetherese(a)gmail.com)
Je commence sans plus tarder, par le bonnet à visière en angora 16%
De couleur terreuse d’apparence déjà sale à l’achat, ce bonnet acheté au marché, chez Babou ou Giga Store, est porté exclusivement par des petites personnes dodues qui ne passent pas entre les deux banquettes du metro. Le plus souvent les porteuses de bonnet à visière augmentent leur volume corporel en se munissant d’un petit sac en bandoulière pour transporter leur goûter sans avoir les mains occupés afin de mieux bousculer leurs contemporains. Si ces personnes ne s’excusent pas quand elles bousculent des quidam, c’est à cause de leur cerveau qui dégouline à l’arrière (cf. illustration) et parce qu’elles donnent déjà pour une association caritative donc pas besoin de respecter les autres outre mesure. Ce vêtement qui sert à la fois à se protéger du soleil et à tenir chaud, prévu pour le ski donc, entre dans la catégorie « chapeaux décontractés », qui est à proscrire en ville.
Note à Béné: Il existe un modèle pour homme qui caractérise, étonnamment, une tout autre catégorie sociale : celle des grands cons au rire bêta qui se croient chez eux partout, surtout chez les autres, id est les néo-fraggles qui ont coupé leur dread pour pointer à l’anpe.
fredo à son chantier de bamako, « va au mali mec va au mali »
On continue avec un véritable problème de société, la doudoune longue.
Vêtement qui ne flatte personne, il s’apparente au sac poubelle autant par sa texture que par sa couleur. Souvent très chère, la doudoune longue reste un mystère. Elle se répand au fil du temps dans les armoires de toutes les catégories sociales. Du modèle froissé acheté au Antonelle de Parly 2 à la doudoune à capuche en poils de Doberman Burberry, cet abominable manteau est partout. Comme la cible de notre blog écervelé est le jeune de 15 à 25 ans, je tire le signal d’alarme : PRESERVEZ VOS MAMANS ET VOS TATAS de ce manteau-édredon de l’enfer. On observe aussi que les femmes en doudoune longue portent souvent des lunettes Atol avec les montures interchangeables, ce qui est la preuve d’une rupture totale avec les règles de bienséance. Le phénomène est d’autant plus marqué en province où les mamans adoptent une coiffure courte, colorée et méchée souvent en camaïeu avec leurs branches de lunettes à 1 euros.
oh lord…
Sans transition, parlons maintenant des jeans blancs. Ce fléau d’origine rockabilly attaque aussi bien les filles que les garçons.
Chez les filles, il est porté en total look noir et blanc.Il s’agit de coordonner sa panoplie du jour en duo de couleurs comme sur la photo ci-contre.
En réalité, c’est une excuse pour consommer plus selon la pensée suivante : « Tiens ce collier noir et blanc irait bien avec mon jean blanc et mon gilet noir , en plus ça me fera des points sur ma carte de fidélité ». Elles pourraient avoir un jean couleur denim et le mettre avec n’importe quel vêtement adapté à la température ambiante et tout irait pour le mieux. Je vais mal en ce moment.
Chez les garçons, le jean blanc se porte rentré dans des chaussettes de sport avec des requins. Le port du jean blanc va de paire avec une coiffure graphique à base de gel (cheveux de devant plaqué pour former une petite frange et le reste de la chevelure dans un autre sens, j’ai retourné l’internet pour trouver une photo, en vain). Le jean blanc est le vêtement totem de la racaille soignée, le jeune qui ne respecte rien sauf son style.
J’en place pour une pour tous les frères dans la merde, qui sont victime du jean kebab.
C’est le jean mal coupé que tout le monde a, il fait un gros cul parce que les poches à l’arrière sont cousues à une hauteur inadaptée, il est trop grand au niveau du trou du cul, des genoux et des chevilles et un peu serré sur les poignées d’amour. Dispo chez H&m, zara et monsieur jules pour moins de trente dollar, ne vous dépêchez pas, il y en aura pour tout le monde.
Attention, voici le fruit des années 90, qui pousse encore parfois en banlieue (et donc à Châtelet aussi, desservi directement par le rer) : Le sac poubelle coloré pour ranger son blackberry bold, son iPod nano et son quid.
Pour le coup, je conseille de le porter avec une doudoune longue car il peut disparaître dans les boursouflures du bibendum. Les adeptes de ce sac à ficelle sont souvent des nostalgiques dépressives qui portent toujours le chignon plaqué au gel de leurs années collège. Complexées par leur cheveux crépues qui ne rentraient pas dans le diktat de la chevelure lisse de jennifer aniston période Friends, elles compressaient la masse dans un chignon ni vu ni connu jtencule.
On continue avec une paire de chaussures intolérable : la basket à talons.
Voilà la matérialisation de la contradiction du terrien: l’ajout d’une contrainte à une chaussure pour courir. Pas la peine de parler de la laideur de cette paire de grolles, une image vaut mille mots.
Si tu veux une conclusion, tu vas te faire enculer derrière ton ordinateur.
GrosseMerde pour jetenculetherese.net, ouais !!!!
