Pourquoi les contrôleurs RATP sont-ils tous des fils de pute?

Salut les usagers Ratp, ça rame ? C’est au quai? Vous en avez ras le cul de ces métros et rer hors de prix qui ne marchent jamais, remplis de clochards qu’on laisse là au lieu de les loger, ou de pubs pour des spectacles ou des voyages que vous ne pouvez pas vous payer et que c’est tout sale et qu’à force bah ça vous rend complètement ouf ? Et en plus faudrait payer ça une fortune? Lisez cet article en écoutant RATM et criez votre haine face à RATP. Attention à la fin, la solution ultime pour enculer ces bâtards.

Comment qu’on les reconnaît ?

Déjà ils sont souvent super moches. Le contrôleur mâle est rasé et a niveau Bac -8. En effet, un simple test de sous culture générale est suffisant pour intégrer les forces du désordre. Le contrôleur parle comme dans un film d’Audiard sauf qu’il n’en a pas vu un seul. Son truc à lui, c’est plutôt Luc Besson et Lagaffe (Vincent pas Gaston). L’homme contrôleur est né à la mauvaise époque, ce qu’il aime c’est sentir le stress dans les yeux des gens et leur demander leurs titres. Il aurait préféré naître dans les années 10, pour être assez en forme lors des heures sombres de la France. Attention si un contrôleur en lisant ça veut porter plainte, sachez que je ne vous compare pas à des nazis, mais l’acte de gagner sa vie en recherchant des contrevenants en les prenant au piège, oui c’est prêt pour le label NSDAP (C’est mieux que nazi penseront-ils en passant l’éponge). La femme elle, ressemble un peu à Corinne de la compta, sauf qu’elle a foiré son bac STT (on me dit que c’est STG depuis déjà longtemps) parce que Kevin l’a engrossée pendant le bac de français. Elle est souvent blonde et autoritaire, un peu pouffiasse, on sent que physiquement, elle aurait pu être coiffeuse si son goût du kontrol n’avait pas été aussi poussé.

Comment agissent-ils ?

Ils sont en groupe de pleins de gens, habillés en vert avec leur machine à cartes bleues prête à dégainer. Ils t’attendent là souvent derrière un mur, dans les grandes stations, et toujours à l’heure où le chômeur a décidé de sortir. Bah oui, les gens honnêtes qui travaillent payent leurs titres, et c’est souvent trop difficile de contrôler quand y a du monde et, à la RATP, la difficulté, on n’aime pas trop ça. Je trouve ça aussi peu couillu que paradoxal pour des agents de la Gestapo frustrés que de se planquer derrière des murs comme des juifs. Soyez des hommes montrez-vous !

Certains me diront, à raison, que c’est facile de critiquer sur le physique et de comparer des pauvres cons frustrés à des fascistes. Certes. C’est de l’humour et de la méchanceté gratuite. Mais en y réfléchissant plus intelligemment, au risque de passer pour un original, mais c’est mon blog je fais ce que je veux, étudions philosophiquement leur mode de fonctionnement.

Le but initial c’est que tout le monde paie non ? Jusque là, rien de choquant, il faut bien financer nos transports. Mais pourquoi partir du principe que les gens vont tricher? Pourquoi ne pas placer ces contrôleurs aux entrées pour  forcer les usagers à prendre des billets ? Il existe en effet à Paris plus de 1200 agents pour 301 stations. Ce qui fait à peu près 4 agents par station. En tournant, ou en embauchant si c’est encore possible, il serait vite effectif que tous les usagers payent leurs titres. C’est un peu comme si Carrefour n’avaient plus de caissières, on serait obligé de payer de bonne foi à la sortie, sous peine de risquer un contrôle de caddie qui rapporterait aux grands magasins 50 fois plus que la somme que tu devais à la base. Dans ce cas de figure, qui ne paierai pas sa bouffe ? Des fils de pute de riches mal honnêtes certes, mais surtout des pauvres. Ce sont eux qui rapportent le plus au final. On a beau dire qu’il n’y a pas de sots métiers, mais donner des amendes à des gens qui, souvent, n’ont pas acheté leur ticket par manque de moyen, c’est un métier de fils de pute. Car je ne sais pas si vous avez déjà voyagé sans titre, mais c’est une angoisse permanente, c’est pour cette raison que je suis toujours en règle. Si tu galères à trouver du boulot, fais éboueur ou nettoie les chiottes du Cac 40 le temps que tout explose et que tu redeviennes le roi de la Terre, mais ne contrôle pas ton frère, mauvais payeur, il a fait ça car on l’a tenté. Cela devrait être le 11e commandement.

A carrefour, dans l’état actuel des choses, finie la simulation, si je me fais piquer en train de péta du Justin Bridou, je le paie au grand noir et voilà, terminé. Je ne paie pas une amende forfaitaire. C’est quoi ça ? Ça veut dire que j’ai perdu un pari ? C’est donc un jeu ? Très bien jouons !

Voici la technique ultime pour enculer la RATP mon gars

Il existe dans tous les points de vente de fainéants mal aimables de chaque station de métro, le pass découverte. Il s’agit d’un pass Navigo mais temporaire. Il vous suffit de l’acheter quelques euros, plus le prix de l’offre que vous choisissez (les mêmes que Navigo c’est à dire au mois ou à la semaine), puis de remplir à la main votre nom et prénom et d’y coller une photographie. Aucune vérification d’identité ne sera effectuée par la RATP. Mettez-y le nom et prénom de Jean-Marc, votre pire ennemi, et apprenez son adresse et numéro de téléphone par cœur en cas de contrôle. Plusieurs semaines après, une fois que votre forfait s’est terminé, vous êtes de nouveau en infraction dans le métro ou dans le bus. Lorsque vous croisez un contrôleur, gardez votre calme. Avouez humblement que vous n’avez pas eu le temps de recharger votre pass cette semaine, que vous habitez en France un mois sur deux et que vous étiez en retard ce matin. Un mec sympa pourrait vous laisser partir, mais comme c’est tous des connards payés à la com, il va vous mettre une amende, qu’il faut accepter avec le sourire, comme si vous aviez perdu un jeu, cela va satisfaire le contrôleur qui n’ira pas plus loin dans sa recherche d’identité. Ne surtout pas lui montrer votre vraie carte d’identité, simulez un oubli, vous n’avez rien sur vous. De toute manière, il n’est pas habilité à vous fouiller, et vu que vous avez été de bonne foi et gentil, il va vous faire confiance et ne va pas perdre de temps à appeler un policier. Si il le fait, vous êtes dans la merde. Faites quand même semblant d’être vénère en prenant l’amende et refusez de la payer sur place. Son prix, avec les frais de dossier, va avoisiner les 70 boules. Vous n’en avez rien à foutre, c’est Jean-Marc qui va payer, et vous avez enculeR la RATP.

Ou alors, faites comme moi, payez votre billet, mais sautez quand même les tourniquets. C’est ça aussi la rébellion pépère.

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